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How cannabis plants use light for big yields

La Lumière et Ses Effets sur les Plantes de Cannabis

Pour développer son cycle de vie naturel et pousser, une plante a besoin d’air, de substrat, d’eau et de lumière. Toutefois, il y a une différence entre pousser et exploiter le vrai potentiel organique de la plante. Pas de secret : maximiser les récoltes implique beaucoup de maximiser la façon dont la plante utilise la lumière.

Sous-estimer l’importance du rayonnement solaire est une erreur. Les cultivateurs Outdoor des régions Nord, où le cagnard est timide et les nuages humides, peuvent aisément prouver la différence entre une saison ensoleillée ou pluvieuse au vu des récoltes. Sans parler bien sûr, des effets kisscool tel que les moisissures. Le manque de soleil direct et constant a un impact sur la taille et la densité des fleurs, pouvant même allonger ou retarder la période de maturation.

Et pour comprendre comment les plantes utilisent la lumière, il faut s’intéresser aux PAR (Photosynthetically Active Radiation). Wep, c’est scientifique alors on résume : une partie du spectre de lumière (couleur) répond aux besoins en énergie de la plante pour activer sa photosynthèse. Les yeux humains et les plantes perçoivent la lumière de façon très différente : la vision est sur la portion centrale (l’arc-en-ciel) alors que les végétaux utilisent un champ beaucoup plus large (incluant les infra/ultra). En plus d’être rigolo, on peut regarder à travers un prisme et voir que l’ invisible est chargé de couleurs. Les plantes le voit avec leurs cellules.

Des Lumières pour Cultiver Indoor

Une plante n’absorbe pas la même combinaison de couleurs durant toute sa vie. Dehors le Soleil fournit un nuancier complet à intensité variable selon la saison. Dans l’espace de culture on doit jouer les Houdini et faire apparaitre le spectre magique. Ou mettre une lampe et un programmateur. Faire varier les longueurs d’ondes revient donc à se rapprocher au mieux de la Nature et cela permet aux plantes de s’épanouir pleinement. En raccourci : croissance = froid/bleu et floraison = chaud/rouge.

MH, CFL, HPS, LED… Que choisir?  Et bien, ça dépend des configurations et contraintes de l’espace de culture. La chaleur dégagée par la source lumineuse et sa distance avec le sommet des plantes sont les paramètres décisifs.

En exemple, pour les HPS : trop prêt ça dessèche, trop loin ça pénètre pas. Résultat : têtes brulées en haut et smarties en bas. En simplifiant : une 600w c’est pire qu’une 400w selon l’installation. Inconvénients des HPS = dégagement de chaleur et spectre constant.
Du coté des récentes LED, c’est beaucoup plus cool niveau chaleur et, selon les modèles, il est possible de jouer sur les longueurs d’ondes, ce qui permet de reproduire l’inclinaison du soleil inhérente au changement de saison. Inconvénient = le tarif.
En conclusion, mieux vaut une HPS bien gérée que des LED bon marché. Un autre article parle du sujet: HPS vs LED.

Tips : les ampoules se remplacent régulièrement. Leur puissance diminuant avec le temps, les fleurs reçoivent moins d’énergie et donc sont moins grosses. Un ciel couvert en quelque sorte. Et, diviser les sources lumineuses est un avantage certain dans la distribution de la lumière, cela évite le point chaud central et le manque d’intensité sur les côtés.

Éclairage Inadéquat et Faiblesse de Culture

Le faible développement des plantes est une conséquence liée aux conditions de culture plutôt qu’au potentiel des graines. Du moins, si elles sont de qualité, comme chez Paradise bien sûr. Les graines sont naturellement programmées pour prospérer et génétiquement croisées pour exploser. Le potentiel est là, reste plus qu’à l’exploiter au mieux. Il suffit de comparer les photos de Nebula ou Space Cookies en pleine possession de leurs moyens, c’est-à-dire cultivées au monastère d’Eden par Saint Fiacre, et celles ayant survécues aux salles d’étuves et aux glacières sombres des Maîtres du Chaos.

Les plantes carburent à l’énergie solaire pour activer la photosynthèse et donc se développer selon leur potentiel génétique. Au plus la lumière apportée est proche des phases solaires (Printemps = croissance, Été = floraison, Automne = maturation), au plus le moteur tourne et la plante peut faire fonctionner ses usines à sucre à plein régime. Le spectre reproduit l’inclinaison du Soleil, la distribution de la source reproduit l’étendue homogène et la pénétration de ses rayons.

Pauvreté de Lumière et Richesse de Problèmes

Une des causes principales du frêle développement des plantes, des branches ressemblant à des baguettes chinoises par exemple, est le manque de puissance lumineuse. Un indice : si les plantes tiges, s’étiolent, c’est qu’elles cherchent l’énergie, la lumière. Ici, avantage des LED – à spectre complet – qui dégagent peu de chaleur et qui peuvent donc être placer proches des plantes. Et qui dit plus prêt, dit plus de pénétration du feuillage et bonjour les rochers suchard.

La lumière joue un rôle crucial dans le développement vigoureux et sain des végétaux. Et cela démarre dès le semis. Une plante qui souffre de manque ou d’excès de lumière est une plante qui dépense de l’énergie pour survivre et non pour produire…. La qualité de l’éclairage conditionne le niveau du potentiel végétal exprimé. Des fleurs sont toujours produites mais elles ne peuvent pas se remplir sans carburant. La consistance, la densité, le poids sont essentiellement dépendants de l’apport de lumière.

Memento : Epousseter les ampoules, pas de traces de doigts, gaffe aux impulsions d’allumage, remplacer toutes les 3 ou 4 culturesau grand maximum, sinon ça marche pas….

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